"Liberté de ne pas croire", "Liberté d'échanger", "Liberté de s'exprimer"
C'est en ces trois parties que se divise le numéro unique du journal Liberté j'écris ton nom, conçu par la FCPE et le syndicat Union Nationale Lycéenne.
Le projet est né dans la foulée des attaques djihadistes de janvier 2015. "Charlie" a mis en lumière la fracture sociale au sein de l'école.
Dans ce journal, on donne la parole aux usagers du service public d'éducation que sont le parents et les enfants, on leur permet de se questionner ensemble sur la notion de laïcité.
Le journal est composé de quatre pages. Il mêle les témoignages de parents, d'élèves et d'enseignants, fait écho d'initiatives sur la liberté d'expression et rappele sous forme de vignettes ce que dit la loi (loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse, loi de 1905 sur la séparation des églises et de l'état, charte de la laïcité)
Le projet est né dans la foulée des attaques djihadistes de janvier 2015. "Charlie" a mis en lumière la fracture sociale au sein de l'école.
Dans ce journal, on donne la parole aux usagers du service public d'éducation que sont le parents et les enfants, on leur permet de se questionner ensemble sur la notion de laïcité.
Le journal est composé de quatre pages. Il mêle les témoignages de parents, d'élèves et d'enseignants, fait écho d'initiatives sur la liberté d'expression et rappele sous forme de vignettes ce que dit la loi (loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse, loi de 1905 sur la séparation des églises et de l'état, charte de la laïcité)